Un vent nouveau souffle sur l’industrie cinématographique ivoirienne. Le jeudi 26 juin 2025, la Première Dame, Dominique Ouattara, a ouvert les portes de ses bureaux pour une audience prometteuse avec Eva Peled, Directrice Générale du groupe Mitrelli, et son invité de marque, Lawrence Kasanoff, producteur américain de renommée mondiale. Cette rencontre historique pourrait bien marquer le début d’une ère nouvelle pour le cinéma ivoirien, propulsant son riche patrimoine culturel sur la scène internationale.
Mme Peled a eu l’honneur de présenter à la Première Dame son illustre compagnon, Lawrence Kasanoff, une figure emblématique de l’âge d’or d’Hollywood. Son CV parle de lui-même : à son actif, des films cultes qui ont marqué des générations entières, tels que l’explosif Mortal Kombat, l’inoubliable Dirty Dancing, le puissant Platoon, l’époustouflant True Lies, et l’épique Beowulf. Son œuvre, d’une richesse et d’une diversité remarquables, a indéniablement laissé une empreinte indélébile dans l’histoire du septième art mondial. Au cœur de cette audience, Kasanoff a dévoilé un projet ambitieux et porteur d’espoir : la réalisation d’un film en Côte d’Ivoire. Une initiative qui, au-delà de l’aspect cinématographique, vise à mettre en lumière la profonde richesse culturelle du pays et à contribuer de manière significative à son rayonnement international. « L’objectif de cette visite était de présenter à la Première Dame, M. Kasanoff, un producteur de films aux États-Unis, connu pour avoir produit des blockbusters tels que Mortal Kombat, Dirty Dancing, Platoon, True Lies, et Beowulf – les plus grands films du cinéma américain », a déclaré Eva Peled à l’issue de l’audience. Elle a ensuite précisé l’ambition de ce déplacement : « Le but de sa venue est de réaliser un film en Côte d’Ivoire ».
L’enthousiasme de la Première Dame face à cette proposition a été palpable. « La Première Dame a accueilli notre démarche avec énormément de plaisir et de soutien. Elle a exprimé son soutien absolu à l’initiative pour permettre à Larry ou Lawrence Kasanoff de venir réaliser ses films en Côte d’Ivoire », a ajouté Mme Peled, soulignant l’importance de cet appui officiel. Ce projet cinématographique ouvre des perspectives considérables pour la promotion du patrimoine culturel ivoirien et le développement du secteur audiovisuel local. La Côte d’Ivoire, souvent méconnue du grand public international, pourrait ainsi se révéler sous un jour nouveau. « Il est évident que la réalisation d’un film en Côte d’Ivoire aura un impact immense sur sa réputation à l’échelle internationale. Cela permettra de valoriser ce pays, car le continent africain n’est pas toujours perçu à sa juste valeur par les audiences mondiales », a soutenu Eva Peled. Elle a même suggéré une direction artistique : « Par exemple, une comédie romantique filmée en Côte d’Ivoire permettrait au public international de découvrir ce magnifique pays ».
Cette collaboration potentielle entre une icône d’Hollywood et la Côte d’Ivoire promet non seulement de dynamiser l’industrie cinématographique locale, mais aussi de projeter la richesse et la beauté de ce pays sur la scène mondiale. Reste à voir quelles histoires captivantes Lawrence Kasanoff choisira de nous raconter, avec la Côte d’Ivoire pour toile de fond.
Georges Badiel
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