AFRIKEXPRESS-Pour la première fois, Marcelle Kouamé, une mère bouleversée, prend la parole sur les réseaux sociaux pour dénoncer une situation qu’elle ne peut plus supporter.
Le 25 décembre 2024, à l’occasion de Noël, Marcelle Kouamé, l’ex-femme de l’animateur télé de la RTI, Éric Sekongo, a pris la parole dans un message émouvant sur ses réseaux sociaux, suscitant une réaction large et divisée parmi les internautes.
À travers ses mots, Marcelle exprime sa frustration et sa douleur face à une situation familiale qui perdure depuis trop longtemps.
Dans son message, elle déclare se voir privée de son fils depuis un certain temps, soulignant que malgré sa patience, elle est toujours coupée des échanges avec son enfant, tant au niveau des appels que des messages. Ce message émouvant et plein de douleur met en lumière les difficultés liées à la séparation et les conséquences sur le lien parental, particulièrement en cette période de fêtes.
« Les autres sont-ils chez leurs mamans, je suppose ? » lance-t-elle dans son message, pointant du doigt la situation familiale compliquée de son fils, qui, selon elle, devrait passer plus de temps avec sa mère et ses frères et sœurs pour un équilibre émotionnel et familial.
Elle insiste sur l’importance de laisser l’enfant tisser des liens solides avec ses proches et de respecter des moments cruciaux comme les vacances, des instants qui marquent profondément l’enfance.
Marcelle Kouamé prend également un moment pour rappeler que, bien qu’elle soit ouverte à ce que son fils profite de la présence de la nouvelle compagne de son ex-mari, elle tient à ce que sa propre place de mère soit respectée. Elle adresse un message clair aux femmes qui entrent dans la vie d’un homme ayant des enfants :
« Prenez le temps de le conseiller« , suggérant que le rôle de la mère doit rester primordial, surtout durant des moments clés.
À la fin de son message, elle fait une déclaration forte, assurant qu’elle ne se taira plus. « Je ne resterai pas silencieuse cette fois-ci », avertit-elle, insistant sur le fait que ce n’est ni une menace ni un ultimatum, mais plutôt un cri de justice d’une mère qui réclame ses droits.
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