Le ministre d’État, ministre de l’Agriculture, du Développement Rural et de la Production Vivrière, Kobenan Kouassi Adjoumani, a une nouvelle fois manifesté sa solidarité envers la communauté chrétienne catholique d’Assuefry, dans le Gontougo, en augmentant sa participation financière pour la construction du nouveau temple de l’Église Saint Jean-Baptiste, au grand bonheur des responsables religieux et des fidèles.
Considéré comme le vagabond de la charité ou le fidèle héritier de la Mère Teresa en termes de générosité, le leader des cadres du Gontougo s’est rendu dans cette église pour assister à la messe de requiem en mémoire de la sœur aînée de son « frère » et collaborateur, Kouabenan Yoboua Céverin, PCA de Côte d’Ivoire PME et maire de la commune hôte. Prenant la parole, il a déclaré : « Lors de mon dernier passage ici, le maire m’avait informé que vous étiez en train de bâtir un nouveau temple. Je vous avais alors offert 5 millions de FCFA. Aujourd’hui, je vous remets à nouveau la même somme, en attendant d’autres contributions à venir. »
Président du conseil régional du Gontougo, Kobenan Kouassi Adjoumani est souvent surnommé le « vagabond de la charité ». En effet, chacun de ses passages dans la région s’accompagne d’actions sociales. À l’approche du ramadan, il fait régulièrement don de vivres et de non-vivres aux grandes mosquées de la communauté musulmane.
Sur le plan du développement, l’électrification de la région est presque achevée à 100 %. Des centres de santé sont implantés dans les villages les plus reculés. À Assuefry, son empreinte est visible, notamment au lycée municipal, qui porte désormais le nom du maire en reconnaissance de ses actions similaires à celles du ministre d’État. L’accès à l’eau potable est désormais assuré grâce à l’hydraulique villageoise dans tous les villages. Quant aux routes autrefois décriées, elles ont fait l’objet de grands travaux de réhabilitation et sont redevenues praticables.
« Il est proche du Président de la République. Il pourrait aller encore plus loin en faisant bitumer nos routes », disent certains. Toutefois, la majorité des habitants garde espoir : « Il aime profondément sa région. Le reste, ce n’est qu’une question de temps. Soyons patients, tout ne peut se faire en un jour. »
Finalement, l’unanimité est difficile à atteindre dans ce monde, mais saluons ce qui a déjà été accompli par ce collaborateur du président Ouattara, en attendant encore plus d’actions en faveur de la population.
TKF
