La Fédération des associations féminines du Département de Grand-Lahou a organisé samedi le 29 juin dernier à la mairie de Grand-Lahou, une cérémonie de fête des mères. Cela, en présence du président du Conseil régional des ‘’Grands-Ponts’’, le ministre Essis Esmel Emmanuel, et avec à ses côtés l’un de ses conseillers régionaux en la personne du cadre des impôts, Konaté Daouda, respectivement haut patronage et parrain de cette cérémonie.
Prenant la parole à l’occasion, Konaté Daouda alias ‘’le père de la jeunesse’’ ou encore ‘’le Dougoutigui’’ a salué l’initiative de la Fédération des associations féminines du Département de Grand-Lahou. Car, celle-ci est, selon lui, un cadre réjouissance et de retrouvaille mais pas que. Le parrain de cette cérémonie à l’honneur des mères a appelé à l’autonomisation de la femme. « C’est vrai qu’il faut bien fêter, parce que la fête permet aux populations de se retrouver, de se réunir, de s’égayer et puis de renforcer les liens. Mais au délai de la fête, il faut que chacun soit autonome en travaillant. Parce que seul le travail paye. Il est bien que les associations féminines se sont mises ensemble. Elles doivent, chacune à son niveau, travailler pour avoir leur autonomie », a-t-il indiqué.
Pour les y aider et encourager, Konaté Daouda a offert deux (2) broyeuses de manioc, des milliers de pagnes, etc à la fédération des associations féminines. Toutefois, le meilleur, a-t-il fait remarquer, reste à venir pour nous. « Nous avons souhaité les accompagner d’abord dans leur implantation. Mais ensuite, les accompagner dans les activités qu’elles vont mener matériellement et financièrement », dira Konaté Daouda. Avant de justifier son action en faveur de la gent féminine. « Ce sont nos mamans qui tiennent les foyers. (…) Il faut toujours les soutenir car une maman soutenue, c’est une famille épanouie. C’est donc pourquoi j’orienter mes actions vers les femmes », a-t-il soutenu.
Par ailleurs, Konaté Daouda a exhorté les populations du Grands Ponts’’ à l’union et u vivre ensemble en vue du développement de la région. « Faisons en sorte que nous puissions nous mettre ensemble pour le développement de notre ville. Parce que Grand-Lahou est un bien commun. On ne doit pas poser des actions pour mettre en mal ce bien commun. Nous devons poser des actions allant dans le sens de l’évolution des choses au niveau de notre département », a souhaité le bienfaiteur des femmes.
Armel Roy
