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Hassan Hayek évoque son conflit avec Makosso Camille : « Il a détruit quelque chose en moi et dans ma famille »

AFRIKEXPRESS- À l’émission PPLK, Hassan Hayek a ouvert son cœur et parlé sans détour de sa rupture avec l’influenceur et homme d’affaires Makosso Camille. Un témoignage sincère, marquant un tournant dans leur relation, désormais émaillée de tensions profondes.

Le désaveu de Hayek à l’égard de son ancien ami, Camille Makosso, est frappant. « Je n’ai plus de rapports avec Makosso depuis longtemps. On ne se parle plus, il n’y a plus aucun contact entre nous », a-t-il confié au présentateur de l’émission. Cette rupture, selon Hayek, trouve ses racines dans des propos jugés particulièrement violents et irrespectueux de la part de Makosso. Il a notamment évoqué une menace envers son intégrité physique, un geste qu’Hassan Hayek qualifie de « coup de trop ».

L’homme d’affaires a également évoqué des déclarations encore plus inquiétantes, selon lesquelles Makosso aurait parlé de « convoquer son âme chez le Seigneur ». Ces paroles, qualifiées de « catastrophiques » par Hayek, ont profondément bouleversé sa famille et laissé des blessures difficiles à guérir.

« Cela a créé une catastrophe chez moi et a profondément blessé ma famille », a-t-il révélé avec émotion. Il a également souligné que ces mots ont eu des répercussions bien plus graves qu’il ne l’aurait imaginé : « Les répercussions sur ma famille ont été énormes, bien plus que ce que l’on peut imaginer. »

 

Bien qu’il exprime une forme de regret, Hayek n’a pas hésité à souligner qu’il ne pouvait plus revenir en arrière : « Je ne peux plus revenir en arrière, car cela dépasse ma propre personne. » La situation semble désormais irréparable pour lui, d’autant que la vie de sa famille a été impactée de manière considérable.

 

« Les réseaux sociaux restent virtuels, mais certains actes posés en ligne peuvent détruire des vies réelles », a-t-il martelé, un message poignant sur les dangers d’une certaine liberté d’expression sur ces plateformes.

 

Cependant, malgré tout, Hassan Hayek a tenu à rappeler que son affection pour Makosso Camille demeure intacte. « J’aime bien Makosso comme personne, car c’est un bon gars. Il est peut-être impulsif parfois sur les réseaux sociaux. C’est mon frère, je l’aime, mais il y a des limites que ma famille ne peut pas tolérer. » Ces propos témoignent de la complexité de leur relation, marquée par des sentiments partagés et un conflit qui semble être le fruit de malentendus et d’impulsions malheureuses.

Les propos de Makosso ont visiblement franchi des limites pour Hayek, qui a désormais choisi de se tenir à l’écart, mais sans renier son affection envers lui. Toutefois, l’amitié et la fraternité semblent bel et bien ancrées dans un passé révolu, tandis que les cicatrices laissées par ces échanges violents restent présentes.

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