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Lôh-Djiboua/Élu le 2 septembre dernier : Amédé Kouakou et son bureau, officiellement au commande du Conseil régional

Le ministre Amedé Koffi Kouakou, élu à la tête du Conseil régional du Lôh-Djiboua à l’issue des régionales du 2 septembre dernier, a été officiellement investi dans ses nouvelles fonctions, ce vendredi. C’était au cours d’une cérémonie présidée par le préfet de région, Kouakou Assoman, préfet de département de Divo, et avec la participation de 62 conseillers, largement au-dessus du quorum qui est de 70 membres. Ainsi, le nouveau président du Conseil régional du Lôh-Djiboua a procédé à la présentation de son bureau. Il s’agit de Nadine Gnéba, 1ère vice-présidente, Lacina Koné, 2ème vice-président, 3ème vice-présidente, Sabine Gnadou, 4ème, N’guessan Denis, 5ème vice-présidente, Anne Gnahoré du FPI et Yao Kouadio, 6ème vice-président. Soit 3 hommes et autant de femmes. Est ainsi composée, l’équipe qui a été approuvé à l’unanimité.

Poursuivant, le ministre a félicité le corps préfectoral pour son professionnalisme lors des élections, la Commission électorale indépendante (CEI) pour la parfaite organisation de ces joutes, ainsi que son parti le RHDP et les partis d’opposition. « C’est l’une des rares fois à Divo où on fait des élections et tout se passe bien », a-t-il souligné. S’adressant à son aîné, le ministre Lida Kouassi, Amédé Kouakou a dit compter sur lui pour le développement de la région.

Pour ce quinquennat, le président nouvellement élu et son bureau se sont donnés pour mission de renforcer l’économie locale, les atouts touristiques et culturels de la région, de développer le capital humain, de promouvoir la jeunesse et de rendre autonome les femmes. « Ce Conseil dans toutes ses composantes va travailler pour apporter des solutions aux problèmes posés. Tout ce qui compte pour moi, c’est le travail pour améliorer les ressources propres du Conseil régional. Si les populations paient des taxes, c’est pour qu’on les utilisent pour leur bien-être », a-t-il signifié en invitant les conseillers à travailler dans l’union.

Georges Badiel