Réunis en session extraordinaire le dimanche 9 février 2025 à Assuefry, les jeunes du département de Transua, issus de la société civile, ont exprimé leur gratitude au ministre d’État, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Kobenan Kouassi Adjoumani, pour son engagement en faveur de la jeunesse et du développement de la région du Gontougo.
Lors de cette rencontre, l’actualité sociopolitique a été largement abordée. Les jeunes ont dénoncé les accusations jugées infondées d’un cyber-activiste, ainsi que la polémique autour de l’affaire dite de « Digba Dette ».
S’exprimant au nom du groupe, leur porte-parole, Koffi Atta, a fustigé certaines manœuvres politiques qui, selon lui, visent à détourner l’attention des véritables préoccupations de la population. « Comment une affaire comme ‘Digba Dette’ peut-elle devenir un projet de société pour un parti politique ? On sait tous qu’on ne prête qu’aux solvables. D’ailleurs, aucun bailleur de fonds n’a jamais menacé notre pays pour une supposée insolvabilité. La gestion du Président Alassane Ouattara est saluée à l’échelle internationale », a-t-il déclaré.
Concernant les accusations portées par un cyber-activiste, Koffi Atta n’a pas mâché ses mots : « Tout le monde connaît cet individu qui cherche désespérément à exister sur la scène médiatique en débitant des contre-vérités. Ses contradictions et manipulations sont dignes d’un avocat du diable. S’attaquer à un leader comme Adjoumani, c’est exposer sa propre médiocrité. Où sont ses preuves concrètes, à part des insinuations et du chantage ? »
Évoquant la simultanéité des attaques contre le ministre et la montée de cette polémique, il a ajouté : « L’intervention du ministre d’État a visiblement dérangé certains, qui cherchent maintenant à ternir son image. Mais nous saluons son silence, car c’est l’arme des sages. Répondre à ces attaques infondées serait une perte de temps. »
Au-delà du débat politique, la rencontre a été marquée par une annonce majeure pour la jeunesse de Transua et du Gontougo. Koffi Atta a rappelé la volonté du ministre Adjoumani, par ailleurs président du Conseil régional du Gontougo, d’accélérer le développement économique à travers la mise en place d’un agropole moderne.
Lors de sa dernière visite à Bondoukou, le ministre avait réaffirmé cet engagement : « Nous sommes déterminés à transformer notre district grâce à un agropole qui créera des emplois pour nos parents, nos jeunes et nos femmes. Nous allons moderniser l’agriculture avec des intrants de qualité, des semences améliorées et des techniques innovantes. »
Ce projet d’envergure prévoit la création de trois zones industrielles à Bondoukou, Bouna et Tanda, ainsi que des centres de groupage dans chaque département du Gontougo. « Avec cette initiative, le ministre Adjoumani démontre une fois de plus son engagement en faveur d’une agriculture performante et d’un développement inclusif, au bénéfice des populations locales », a conclu Koffi Atta.
TKF