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Jean Louis Billon répond à Papa Ado : « Si tu veux nous faire rire, allons-y ! Mais, es-tu encore candidat ? »

AFRIKEXPRESS-Le débat autour de la présidentielle ivoirienne de 2025 s’intensifie, et la figure politique Jean Louis Billon se retrouve une nouvelle fois au centre de l’attention.

Dans une  publication le 30 janvier 2025, sur les réseaux sociaux, l’avatar populaire en Côte d’Ivoire, surnommé  »Papa Ado », a sévèrement critiqué la candidature de Billon, qualifiant l’ex-ministre de l’économie et du commerce d’« instable politique » et de « nain politique » malgré sa fortune et son expérience. Le message, rédigé avec un ton ironique et humoristique, n’a pas manqué de susciter des réactions et de relancer les débats sur la légitimité de la candidature de Jean Louis Billon.

 

Dans ce texte incisif, Papa Ado a dépeint Billon comme un homme politique sans véritable bilan, remettant en question ses années de gestion de la ville de Dabakala et son passage dans diverses fonctions gouvernementales. Selon l’avatar, Billon a été incapable de lutter contre la cherté de la vie malgré son rôle de ministre du Commerce et ses diverses activités économiques dans des secteurs tels que le sucre et l’huile.

Les critiques ont continué, en mettant en lumière le contraste entre la carrière de Billon et celle d’autres personnalités politiques, comme Patrice Talon, qui aurait pris le pouvoir au Bénin en un temps record en tant que candidat indépendant. Pour Papa Ado, Billon n’a pas la stature nécessaire pour prétendre à la présidence de la République, comparant même sa position politique à celle de « Ayayi Folly » de sa génération, un nom qui évoque une image de gardien de but sans réelle influence.

 

Jean Louis Billon, ne se laissant pas démonter par ces attaques, a répondu sous la  publication avec un ton détendu et un brin moqueur : « Si tu veux nous faire rire, ben allons-y ! Mais avant, la seule question à laquelle les Ivoiriens attendent une réponse aujourd’hui : est-ce que tu es ENCORE candidat ? Sinon, quittes dans ça ! » .

La réponse se trouve peut-être dans les mois à venir, alors que les élections de 2025 se profilent à l’horizon.

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